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Rencontre avec Adeline

By avril 28, 2024No Comments

Je vous partage ma rencontre avec Adeline, Business Coach Holistique. Elle m’a accueillie dans son cocon, à Morges pour un moment hors du temps 🤩

J’ai eu la chance de me faire coacher par cette femme pétillante que j’ai découverte sur Insta (oui, encore…) lorsque je travaillais sur le développement de mon activité de coach ! Cela m’a permis d’avoir un regard extérieur et surtout, ça m’a beaucoup aidé à travailler sur ma légitimité et sur la joie que je peux avoir (ou pas) dans mes différentes activités et dans les nombreux projets que j’ai en tête.

J’ai adoré sa façon d’accompagner et ce fut un moment très fort en émotion et en révélations…Je vous en dis pas plus car vous allez la découvrir à travers cet interview !

Merci Adeline pour ce super moment de partage 🙏🏼

Joyeuse découverte ! 

Est-ce que tu peux nous raconter ton parcours ?

À la base, j’ai une formation d’avocate. Je me suis spécialisée en tant qu’avocate fiscaliste mais très rapidement j’ai su, même pendant mes études, que ce n’était pas fait pour moi. Le chemin a été long pour trouver ma voie. Je n’étais pas du tout à ma place et pas épanouie dans ce métier-là. J’avais l’impression d’être dans une boîte mais je n’avais aucune idée de ce qui était épanouissant pour moi.

Et en fait, c’est plusieurs démissions et une rupture amoureuse aussi, qui ont beaucoup joué dans ma prise de conscience, dans mon changement, dans mon parcours….J’ai réalisé que j’attendais de la personne avec qui j’étais à l’époque qu’il compense mon malheur au travail en me créant du bonheur. Et donc, que je cherchais le bonheur à l’extérieur !

Je me suis dit : “si j’arrive à quitter quelqu’un que j’apprécie, pourquoi je ne quitterais pas un travail que je n’aime pas ?”. Et du coup, le jour même, j’ai démissionné. J’ai pris un congé sabbatique, je suis partie six semaines toute seule, sac à dos, en Asie et c’était trop bien. A l’époque, c’était mon compagnon qui s’occupait d’organiser nos voyages et j’avais vraiment ce côté-là de dépendance. Dans le sens où je n’étais vraiment pas l’adulte, je n’étais pas du tout présente. C’était la première fois que je faisais un voyage toute seule et je me suis dit : “je vais peut-être revenir en sachant ce que je vais faire de ma vie !”. Et en fait, non… 

A mon retour, je suis retournée à mon ancien travail pour des questions financières mais avec un regard différent. Je pense qu’il y a quelque chose qui a beaucoup changé. Mon cheminement avait fait en sorte que j’avais acquis une conscience que jusque-là, je n’avais pas. Je m’étais ouverte et je pense que ça a joué aussi dans ma spiritualité, le fait qu’il y ait un truc plus grand que nous qui existe. Et ça m’a aussi aidé dans ma décision de démissionner à nouveau, sans rien avoir à côté. 

Je me suis inscrite au chômage et en fait, très rapidement, le jour même de l’inscription, un de mes anciens boss m’a dit : “ok, tu peux te reconvertir, mais ça peut prendre du temps. Du coup, je te propose un temps partiel”. Donc, j’ai travaillé deux jours par semaine dans une étude d’avocat, un job qui me payait toutes mes factures. Sur le papier, c’était génial parce que j’avais du temps libre tout en pouvant mettre des sous de côté. Et en fait, j’ai pas tenu, c’était trop de pression, trop de stress et c’était trop dur de jouer un rôle qui n’était plus le mien. Je me suis donc réinscrite au chômage et là, j’ai donné des cours de langues aux étrangers.

Il faut savoir qu’avant de devenir avocate, je suis partie une année en Australie et je donnais des cours de langues. Je ne savais pas encore ce qu’était ma voie mais la seule chose que je savais, c’est que j’aimais bien la transmission, l’humain et que je préférais enseigner plutôt que d’être fiscaliste. Donc, j’ai commencé à travailler dans une association pour les réfugiés à Genève et j’ai vu que je préférais 100 fois plus ça. La vie a fait que très rapidement, j’ai trouvé un temps partiel comme professeure à Morges.

Et en fait, j’ai décidé de créer ma propre école de langues parce que je me suis dit : “je vais avoir beaucoup plus de revenus financiers, c’est moi qui vais être ma propre boss et en plus, je vais pouvoir travailler à distance.” J‘ai créé ça en sachant, au fond de moi, que ce n’était pas le rêve de ma vie non plus. Le rêve, c’était déjà la liberté, l’autonomie et être ma propre boss !

J’ai ensuite fait une mesure au chômage où j’ai pu présenter mon business plan et lancer mon activité. Et quand je l’ai lancé, j’ai réalisé que si je m’écoutais vraiment au fond, si tout était possible, ce n’était pas ça que je ferais ni là où je mettrais mon temps et mon énergie. Et j’y mettais beaucoup de temps et d’énergie, comme on le sait en entrepreneuriat. Du coup, j’ai tout arrêté du jour au lendemain, pour une fois, ne rien faire et profiter de la vie au quotidien.

Sans injonction de trouver quoi faire dans sa vie, en ne faisant plus rien, en n’ayant plus d’attentes, je me suis faite accompagner par une coach. Et en fait, dès le premier rendez-vous, je lui ai dit : “je veux faire comme vous.” Sans dire que je voulais être coach, j’ai commencé une école de coaching. Pas en disant : “je veux être coach, donc je fais une école de coaching”, mais plutôt : “tu sais que de toute façon, ce que tu préfères dans la vie, c’est l’humain, donc ça te servira dans tous les cas.” Dès que j’ai coaché la première personne dans le cadre de l’école, je me suis dit : “ok, en fait, je suis à ma place.” et très rapidement, j’ai fait mon site et j’ai créé mon activité d’accompagnante.

Devenir coach, ce n’était donc pas une vocation pour toi ?

Exactement. C’est maintenant, avec du recul, que je me suis rendue compte que depuis petite, ce que je voulais c’était aider les autres. Je voulais être psy puis avocate aussi d’un côté. La valeur de la justice était importante. 

C’est l’humain qui m’a fait tenir dans tous les jobs que je n’aimais pas. Et du coup, dans la transmission, il y a aussi l’humain. C’est vrai que ça semble une évidence aujourd’hui parce que je l’ai toujours fait avec mes amis, avec mon entourage et mes collègues mais je ne pensais pas avoir la légitimité d’en faire mon métier et que ce serait quelque chose de réalisable dans cette vie.

Tu es business coach holistique, qu'est-ce que ça veut dire ?

Aujourd’hui, je suis experte en business et en reconversion professionnelle. Et en fait, dès que j’ai été coach, j’ai attiré très rapidement des gens en reconversion professionnelle. Et moi-même, en fait, comme c’est le challenge que j’ai rencontré qui était de trouver ma voie, une voie épanouissante, c’était comme une évidence que je voulais accompagner ceux qui traversaient la même chose que j’avais vécue.

Donc j’ai commencé comme coach en reconversion professionnelle et j’aime bien dire que finalement, tes clients d’âme, ils te collent au cul ! Quand toi, tu évolues, tu changes, tes clients aussi. Finalement, aujourd’hui, je ne suis plus quelqu’un en reconversion professionnelle, je suis une entrepreneuse.

Et c’est pour ça que j’aide de plus en plus d’entrepreneuses, soit en devenir, soit en activité. Parce qu’en fait, c’est mon quotidien, c’est tout ce que je traverse et que aujourd’hui, j’ai réussi à trouver ma joie avec mon business et à générer des revenus financiers et du coup, c’est vers cet objectif là aussi que j’ai envie d’emmener les personnes que j’accompagne.

Donc le côté business coaching, c’est parce que j’accompagne les entrepreneuses en devenir. Il y a vraiment tout un aspect qui est très yang et on va dire plutôt cartésien sur comment générer des revenus avec leur activité. Et parce que j’en ai eu besoin aussi, c’est une évidence pour les personnes que j’accompagne, qu’il y a également l’aspect holistique. Pour moi, c’est inévitable sur tous les plans, que ça comprenne autant le physique, l’émotionnel, l’énergie spirituelle et le mental.

Ca veut dire que ton business, c’est toi, c’est une émanation de toi. Et du coup, pour moi, le business, c’est ce que tu as envie de ressentir, ce que tu as envie d’incarner toi en tant que femme aussi, en tant qu’humaine et quel message tu as envie de transmettre. Et du coup, on ne pourrait pas accompagner une entrepreneuse si on regardait que l’aspect purement business, c’est pour ça qu’il y a l’aspect holistique qui me sert aussi de mon côté, dans l’expansion de mon business, dans ma joie et dans mon équilibre.

C'est cette partie holistique que tu ajoutes et qui te différencie des autres coachs ?

Alors moi, je n’ai jamais eu cette approche-là. Dès que j’ai commencé à accompagner, j’ai toujours très rapidement eu l’intuition que j’allais accompagner les autres à accompagner. C’est quelque chose qui est venu avant même que je sois coach.

J’ai toujours pensé qu’il n’y aurait jamais trop d’accompagnants. J’aime bien la comparaison avec les ostéopathes. Je me souviens que tout au début, quand ils ont commencé, c’était un peu bizarre et on trouvait ça un peu alternatif. Aujourd’hui, c’est naturel d’y aller…Je me suis dit que c’était la même chose avec le coach. C’est-à-dire que pour moi, tout au début, c’était encore bizarre un coach de vie et je vois qu’aujourd’hui, de plus en plus, ça se normalise. Et qu’en fait, de plus en plus de personnes deviennent coachs.

De plus en plus de personnes vont également venir voir des coachs et vont normaliser le coaching et l’accompagnement. Du coup, je ne me suis jamais posé la question de comment je pourrais me différencier des autres. Je me suis toujours dit qu’en fait, il y aurait de la place pour tout le monde, qu’on va attirer les clients d’âme, ceux dont on a besoin et qu’il y a des personnes qu’on ne pourra pas accompagner et donc qu’il y aura d’autres coachs pour les accompagner.

Ce n’est pas une histoire de niveau mais vu que nos clients nous suivent, selon ce qu’on traverse, après, on n’est plus la bonne personne pour les accompagner et donc, il faut des personnes qui ont toutes des chemins et des parcours différents pour pouvoir accompagner tout le monde. Donc, je ne me suis jamais dit : « comment tu vas faire pour te démarquer ? ». Ce que je me suis dit, c’est : « qu’est-ce que tu aimes transmettre, que tu as toi-même surmonté et qui te donne de la joie ? ». Mais je n’ai jamais choisi du coup, en conscience, que je devais me démarquer. J’ai choisi par rapport à mon propre parcours et où j’avais de la joie.

Comment tu apportes cette touche holistique dans ton coaching ? Quels outils tu utilises ?

J’ai une amie qui est dans le marketing et qui dit qu’une magicienne ne révèle jamais ses tours! Du coup, c’est la même chose pour les coachs parce qu’au début, tu ne sais jamais si tu dois parler de tes outils ou pas. Au final, ce que je dis, c’est que j’ai une immense boîte à outils et qu’elle est enrichie au quotidien par mes expériences et par des outils des fois plus théoriques, mais toujours expérimentés.

Selon les co-créations, donc selon la personne que j’accompagne, je vais sortir des outils complètement différents et surtout mes outils préférés, qui fonctionnent et avec lesquels je me sens à ma place. Pour moi, c’est le coaching vraiment pur qui est le questionnement intuitif. Aujourd’hui, j’utilise beaucoup l’human design et je fais le pont entre les deux.

Parce que quand on a un certain type de personne, c’est bon de savoir qu’on va utiliser des types de questions adaptées. Donc, du coup, cet outil me sert vraiment aussi dans mon outil de coaching. Pour revenir à l’human design, je suis contente de l’avoir découvert sur le tard parce que ça ne m’a pas conditionné et que je pense vraiment que mon outil principal, c’est le coaching. Ça me rajoute des informations que je savais intuitivement, mais de manière plus cartésienne. Ce qui me permet d’aller un peu plus loin dans mon intuition, de me faire aussi plus confiance et d’avoir peut-être des informations un peu plus détaillées sur la personne et sa manière de fonctionner.

Ensuite, j’utilise la méditation guidée qui est un soin énergétique. D’ailleurs, pour moi, je fais des soins énergétiques. La médiumnité est aussi un de mes outils (la clairvoyance et la clair connaissance). Je peux avoir des images, des intuitions et des messages sur la personne. Ça s’est développé tout seul et c’est quelque chose que j’utilise pour le soin énergétique qui est pour moi un des outils de coaching que je fais en début de séance pour aider à l’alignement de la personne. Après, si vraiment il y a un gros blocage, ça peut aussi aider d’aller travailler l’inconscient. Mais globalement, c’est vraiment un outil, surtout d’alignement.

J’utilise des fois le tarot et les cartes, mais plus entre les séances et pas forcément pendant. C’est pour ça que je parle de boîte à outils !

Un mot pour décrire ce que tu désires transmettre à travers ton activité ?

Joie (sans aucune hésitation) !

Je pense que c’est ma médecine. J’ai beaucoup de personnes qui viennent me voir en me disant « je veux être la joie dans mon business ». C‘est quelque chose qui est mon moteur, qui m’anime et qui est naturel aussi chez moi et qui est, au final, la boussole de beaucoup de monde.

Tes challenges au quotidien en tant qu’indépendante ?

J’ai cette insouciance qui m’aide beaucoup à tenter des choses même si je me prends des portes ou si je me casse la figure. J’expérimente énormément et je pense que ça m’a servi et c’est ce qui m’a permis d’apprendre beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses ! La première chose qui a été compliquée pour moi, c’est d’être accompagnante. J’avais le syndrome de la sauveuse quand j’ai commencé et c’est ça que j’ai appris direct, parce que je me suis dit : « ok, comment ça se fait que ça m’épuise autant et que je n’ai pas autant de joie que je pensais quand j’accompagne ? ». En fait, je me mettais une pression énorme et j’avais l’impression que je devais résoudre tous les problèmes de mes coachés. Donc ça, c’est un truc que j’ai beaucoup travaillé. L’autre difficulté, c’est le challenge de la posture d’entrepreneuse. Ça m’a fait travailler ma relation avec l’argent. Je pense que je n’ai jamais autant pensé à l’argent de ma vie parce que du coup, quand on a de l’argent fixe à la fin du mois, on y pense différemment.

Pour moi, c’est à la fois le plus gros challenge et aujourd’hui le plus grand plaisir de pouvoir générer soi-même ses revenus. Comme autre challenge, il y a aussi l’équilibre dans le couple… de pouvoir me mettre sur pause, d’être en pleine présence et en pleine conscience et de ne pas toujours penser au business. De couper, pour prendre aussi du temps pour moi. Quand j’ai commencé, je courrais après quelque chose, après une destination et j’en ai oublié des fois, de revenir au moment présent et à pourquoi je faisais ça. Aujourd’hui, ça va mieux ! Mais le plus gros challenge que j’ai aujourd’hui c’est de déléguer, parce que comme c’est mon bébé, j’ai ma vision et je sais comment faire. Donc je travaille sur la délégation et c’est quelque chose que j’apprends à lâcher. Un dernier challenge pour moi c’est la dé-responsabilisation, de ne pas mettre tout sur mes épaules, de me faire plus confiance aussi, d’une certaine manière. Et de faire confiance à la vie.

J’ai vu que tu avais des milliers d'activités, comment tu fais ?

C’est vrai que je pense que, comme beaucoup de personnes, quand on trouve l’entrepreneuriat comme solution, c’est aussi qu’on est multi potentiel. Et ça, c’est quelque chose qui a changé ma vie, de me dire que je suis la femme de plusieurs projets. Le coaching et l’accompagnement, c’est génial parce qu’à l’intérieur, tu peux accompagner sous toutes les formes que tu as envie. J’ai fait un énorme tri sur tout ce que je faisais et aujourd’hui, je me suis rendue compte que j’avais une to-do list qui ne se terminait pas, parce que je me mettais des injonctions sur ce que je pensais devoir accomplir. Et aujourd’hui, je sais ce qui me donne de la joie et non pas ce que les personnes attendent de moi.

Je donne un exemple : les retraites de femmes. On m’a demandé plusieurs fois de créer une retraite de femmes, ou si j’en faisais. J’adore, moi, participer à ce genre d’événements. Et je me suis fait cette injonction de moi-même en organiser. Et puis du coup, je le mettais dans ma to-do list mais j’ai réalisé que je n’avais pas de joie à organiser cela aujourd’hui. J’en organiserai sûrement un jour, mais pas cette année. Et c’est un des exemples parmi tant d’autres. Du coup, j’ai fait le point sur quel projet je gardais ou je ne gardais pas. Je sais aujourd’hui que ce que je veux, c’est développer mes accompagnements avec les entrepreneuses. Donc, c’est le coaching principalement, pour l’instant, en one-to-one. Et dans ma joie, vu que j’ai enlevé beaucoup de projets, finalement, ça m’a laissé de la place pour une vraie joie qui est la création de mon premier spectacle de développement personnel, qui est un rêve pour moi et qui est un mélange de coaching holistique, de soins énergétiques, de danse, de chant, etc. C’est en construction aujourd’hui.

J’ai aussi lancé un podcast, mais pareil, que je n’avais pas l’énergie ou forcément la joie d’alimenter. Je suis donc en train de réfléchir comment je pourrais avoir de la joie avec ce podcast. Du coup, comme je disais tout à l’heure, je fais beaucoup de choses dans l’expérimentation mais si après, je n’ai pas de joie, j’arrête.

C’est ce qui me permet, au final, de faire autant de choses. En fait, c’est drôle parce que moi, de l’intérieur, j’ai l’impression de ne pas faire grand-chose parce que j’ai beaucoup de temps libre et que je prends beaucoup soin de moi, je fais beaucoup de choses. Et à l’extérieur, les gens me disent souvent : « mais comment tu fais pour faire tout ça ? ». Pour moi, je pense que c’est vraiment la clé, c’est de ne pas se mettre des injonctions avec trop de projets et que si tu le fais en t’écoutant, ben, finalement, tu peux accomplir beaucoup de choses en prenant soin de toi et en t’écoutant. Puis, c’est de l’extérieur que ça peut paraître beaucoup.

Et là, mon challenge en ce moment aussi, c’est la création de documents sous-marins que je suis en train de rédiger, notamment liés à l’human design pour les entrepreneuses. C’est le côté un peu ingrat des choses que les gens ne voient pas. Et là, j’ai l’impression que je peux vite me sentir plus dépassée parce que c’est beaucoup, beaucoup d’heures. Mais si tu m’enlèves ça et si je m’enlevais cette injonction d’une certaine manière, je le fais parce que je sais que derrière, ça va beaucoup aider les gens que j’accompagne, ça va me faire gagner beaucoup de temps et ça va optimiser mes process. Et justement, je vais me faire aider par d’autres personnes dans la création de ces documents.

As-tu été aidée, inspirée par d’autres femmes, d’autres coachs ?

J’ai pas de modèle de coach mais par contre, j’ai plusieurs femmes qui m’ont inspirées, notamment Aurore Roegiers qui est médium. Ça a été une grosse source d’inspiration parce que je sentais qu’elle écoutait son coeur et sa joie, qu’elle était sans cesse à l’écoute de son rythme et qu’elle s’est offerte cette liberté là avec l’entrepreneuriat.

Il y a aussi Tony Robbins mais lui c’est plutôt par rapport au spectacle de développement personnel que je veux mettre en place. Ça peut être une source d’inspiration par rapport à ma grande vision de faire plus de choses en présentiel avec beaucoup de monde et plus en mode un peu spectacle. Sinon, beaucoup de femmes de mon entourage m’inspirent dans mon quotidien, en particulier mes amies et mes clientes.

Quels conseils pourrais-tu donner aux femmes qui désirent se lancer mais qui ont encore des peurs, doutes ?

Si t’écoutes ta joie et ton flow, ben tu amasses beaucoup plus de choses. Expérimenter car si tu expérimentes pas, ben tu peux pas savoir ce qui te convient et ce qui te met en joie.

Le meilleur conseil que je puisse donner c’est de prendre une décision : “est-ce que tu veux passer ta vie sur le banc des remplaçantes à regarder les autres vivre ou est-ce que tu vas être créatrice de ta vie et vivre vraiment ?”. Et dis toi que tu peux sauter dans le vide, dans l’inconnu et que l’univers te rattrapera !

Merci Adeline !

Si tu te sens appelée par l’univers d’Adeline, c’est par ici.

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